L’Université Côte d’Azur a mis en ligne une carte permettant de répertorier toutes les initiatives positives recensées aux quatre coins du globe.
©Université Côte d'Azur
Education/Citoyenneté

Une carte recense les effets positifs du confinement dans le monde

Une carte récemment mise en ligne par l’Université Côte d’Azur recense les effets positifs du confinement sur la planète bleue en termes d'environnement et de solidarité. Sont répertoriés entre autres une foule d'initiatives positives qui ont émergé pendant cette période particulière et ce, aux quatre coins du globe.

L’Université Côte d’Azur (UCA) a lancé le 9 mai dernier The OPEN MAP OF THE GLOBAL PAUSE, une carte interactive positive de l’impact environnemental lié au coronavirus. Climat et pollution, faune et flore, initiatives solidaires ou encore innovations… L'objectif est de créer un témoignage collectif et historique dont pourront se servir les générations futures. "C’est une étape importante de l’humanité qui ne se reproduira sûrement pas et dont nous avons besoin de garder un témoignage. Nous nous sommes donc dit qu’il serait intéressant que chacun à travers le monde épingle le phénomène, l’initiative ou l’innovation à laquelle il a assisté afin de constituer une carte mondiale des effets bénéfiques de la pause humaine", explique à ID Samira Karrach, directrice des projets transversaux à l’UCA.

Pour contribuer à cette mémoire collective, l’utilisateur doit se rendre sur le site internet de l’initiative, où se retrouve une carte du monde. Il peut ensuite ajouter librement l’innovation, l’action, la photo qu’il souhaite relayer en précisant un lieu et une date. Un nouveau point apparaîtra sur la carte.

Des données qui, si elles sont fiabilisées, pourront en aval servir de base de recherche, mais aussi d’outil pédagogique pour les plus jeunes. "Le but, c’est que les collégiens, les lycéens et même les étudiants travaillent ensuite sur des parcours de lectures d’exploration de cette carte", souhaite la directrice.

Un legs aux générations de demain donc, mais pas seulement. "À court terme, c’est aussi utile de montrer tout ce qui s’est passé pendant ces deux mois de confinement et de mettre en évidence que cette activité humaine a quand même un impact. Grâce à cela, cette cartographie, qui je l’espère sera la plus exhaustive possible, montrera donc que l’on peut tenir compte de cela pour repenser nos activités", espère Samira Karrach. 

Vous avez apprécié cette information ? Abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici ! 

Pour aller plus loin et agir à votre échelle, découvrez notre guide pratique « L’écologie dans nos assiettes ».

Au sommaire : Tout pour faire sa transition alimentaire en douceur et répondre aux enjeux d’une alimentation plus durable !

Pour en savoir plus et commander votre guide, c’est par ici.

Merci ! #TousActeurs.