Vitamine C, zinc, spiruline bio...les compléments alimentaires ont le vent en poupe chez les Français. D’après le baromètre 2023 du Synadiet (Syndicat national des compléments alimentaires), 59 % d'entre eux déclaraient en avoir consommé au cours des vingt-quatre derniers mois. Un taux qui serait en hausse depuis 2021. Vendus sous forme de gélules, comprimés, pastilles ou encore pilules, les complémentaires alimentaires sont présentés par les fabricants comme de bons moyens pour mincir, améliorer ses apports nutritionnels, lutter contre le stress, les maladies mais aussi réduire certains désagréments liés par exemple à la vieillesse ou encore la grossesse.
Des promesses nuancées par le ministère de l’Agriculture qui rappelle aux consommateurs que ces produits ne peuvent se substituer à un "régime alimentaire normal". De son côté, l’Anses souligne que les compléments alimentaires ne sont pas des médicaments et recommande de demander l’avis d’un professionnel de santé avant d’avoir recours à ces denrées, y compris celles à base de plantes qui peuvent présenter un risque selon “le type d’extraits de plantes ou la sensibilité de populations particulières, comme les femmes enceintes ou les enfants.”
Limiter l’impact sur l’environnement
Mais même éclairé sur ces précautions d’emploi, le consommateur peut encore se retrouver perdu face à la profusion de compléments alimentaires distribués dans le commerce et les pharmacies. Pour faire le bon choix, il est alors conseillé de privilégier ceux vendus dans les circuits les mieux contrôlés mais aussi ceux ayant un faible impact sur l’environnement. Parmi les marques disponibles sur le marché, Unae tire son épingle du jeu en n’utilisant aucun ingrédient issu de l’industrie intensive des élevages animaux ou encore en valorisant les procédés les plus naturels et sûrs possibles. Leur nouveau produit Coenzyme Q10 Quinone+ atteste de cette démarche.
Présent naturellement dans le corps, au niveau des membranes cellulaires et des lipoprotéines, le coenzyme Q10 (CoQ10) est un composé antioxydant, proche de la vitamine K, qui agit contre le vieillissement et l’oxydation de l’organisme. Il permet aussi de produire de l’énergie pour les cellules. Les niveaux de coenzyme Q10 fluctuent toutefois avec l’âge, comme l’indique Julien Venesson, journaliste scientifique et co-fondateur d'Unae, dans un article publié le 14 décembre dernier sur le site de la marque.
Dans le coeur, le cerveau et les poumons, ils atteignent leur niveau le plus élevé à l’âge de 20 ans avant de diminuer ensuite. Au niveau du muscle cardiaque, la production de coenzyme Q10 est réduite de moitié à l’âge de 80 ans", explique-t-il.
Des formules établies à partir de données scientifiques
Si un apport alimentaire suffisant en CoQ10, notamment à travers la consommation de viandes, poissons, huile de colza ou encore certains légumes (choux, épinards, petits pois...), peut prévenir, voire traiter, ces carences, le recours à des compléments alimentaires peut aussi être utile, selon les cas.
Aujourd’hui, le coenzyme Q10 est disponible en complément alimentaire sous l’ubiquinone ou l’ubiquinol - deux formes principales que l’on retrouve dans l’organisme. La première reste toutefois celle privilégiée par le laboratoire Unae pour son nouveau produit Coenzyme Q10 Quinone+ car il s’agit de la forme la plus stable et "la mieux étudiée".
La majorité des essais cliniques menés pour évaluer les bienfaits de la molécule sur la santé humaine recourent à des compléments d’ubiquinone. Nous disposons ainsi de nombreuses données fiables émanant de la recherche scientifique à son sujet", indique le laboratoire.
D’après plusieurs études citées par Unae, la supplémentation en CoQ10 permettrait de lutter contre les maladies cardiovasculaires ou encore d’atténuer les marqueurs du stress oxydatif.
Au-delà de cette attention portée à l’efficacité, le coenzyme Q10 présent dans le produit développé par la jeune marque s’appuie sur un procédé naturel : la biofermentation. Après cette étape, le composé est filtré puis asséché, avant de passer par une phase d’extraction qui permet d’isoler le CoQ10 de la poudre obtenue. Il est ensuite soumis à une condensation, séparation puis cristallisation.
Le choix d’ingrédients naturels et de procédés écologiques
Pour élaborer ce complément alimentaire, Unae utilise aussi de l’huile de colza qui provient de l’huilerie française Jules Brochenin, installée dans la Drôme provençale. Celle-ci est garantie sans allergène, sans OGM, sans gluten et sans nanomatériaux. "Elle est compatible avec un régime végétalien et convient aux personnes intolérantes au lactose ou au gluten”, précise le laboratoire.
Ce mélange entre ingrédients naturels, "made in" France et procédés écologiques fait partie de l’ADN d’Unae depuis ses débuts.
Autant que possible, nous sélectionnons des ingrédients fabriqués en France ou en Europe. La qualité et la pureté de nos produits sont nos préoccupations majeures”, appuie la jeune pousse, avant d’ajouter : “Afin de minimiser l’exposition aux pesticides, la plupart de nos extraits végétaux (poudre de plantes) sont issus de l’agriculture biologique mais aucun de nos produits n'est certifié bio à l'exception de l'huile de cameline.”
Et pour cause, le label bio est apposé uniquement sur les ingrédients d’origine agricole. Unae défend ainsi s’inscrire dans une démarche plus globale qui lui permet notamment de ne pas utiliser de gélules en gélatine animale afin de privilégier des gélules végétales en pullulan (substance dérivée du tapioca).
Nous sommes également le premier laboratoire français à avoir proposé des acides gras oméga-3 de lieu noir sauvage, certifiés MSC, issus d’une pêche artisanale durable, respectueuse des hommes et des océans avec une fraîcheur garantie jusqu’au consommateur”, poursuit le laboratoire.
Cet engagement éthique et écologique prend forme jusque dans le choix de matériaux non pétro-sourcés pour les contenants mais aussi sans bisphénol A, bisphénol S et perturbateur endocrinien. Autant de promesses pour essayer de rendre le monde des compléments alimentaires un peu plus vert.
En partenariat avec Unae.
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