Dans les ordures ménagères, la part de déchets putrescibles a nettement diminué entre 2007 et 2017 mais représente toujours "plus du quart du gisement", comme l’indique la troisième campagne nationale de caractérisation des déchets ménagers et assimilés, dite MODECOM. Selon cette étude réalisée en 2017, les parts des textiles sanitaires (couches pour bébé, papiers souillés) et des plastiques ont, quant à elles, augmenté. "Cette nouvelle répartition est à inscrire dans un contexte de diminution générale des gisements constatée depuis 2007", notait l’ADEME.
Promulguée le 10 février 2020, la loi AGEC (anti-gaspillage pour une économie circulaire), qui prévoit la fin des emballages plastiques à usage unique en 2040, fixe plusieurs objectifs sur la réduction des déchets d'ici 2030 : moins 15% de déchets ménagers assimilés par habitant, et moins 5% de déchets d’activités économiques.
En partenariat avec l'ADEME.
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