Selon Santé publique France et l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), il est recommandé de consommer du poisson deux fois par semaine, dont un poisson gras. Pour en savoir plus sur les recommandations officielles, rdv sur le site de l’Anses.
Selon les espèces, cet aliment est aussi riche en protéines, en minéraux, en vitamines A, D et E ou encore en acides gras oméga-3 - dont "certains sont indispensables au développement et fonctionnement du système nerveux et contribuent à la prévention des maladies cardio-vasculaires", relève l’Anses, dans un article publié en 2022.
Parmi les poissons qui contiennent le plus d’oméga-3, on retrouve par exemple le maquereau, le hareng, la sardine, l’anchois...
Un allié indispensable pour la santé*
Si le poisson est un allié précieux pour notre santé, il est toutefois important de le consommer en variant les espèces dans son alimentation.
L’Anses conseille d’associer "un poisson gras à forte teneur en acides gras oméga-3 (saumon, sardine, maquereau, hareng) et un autre poisson (colin, merlu, cabillaud, sole...)".
Vous l’aurez compris, le poisson apparait comme un aliment de choix pour faire le plein de bons nutriments. Les bienfaits nutritionnels sont nombreux et varient selon les espèces.
A lire aussi : "Préservation des océans : pourquoi et comment consommer du poisson issu de la pêche responsable ?"
"Diversifier les espèces et lieux d’approvisionnement"
Un constat partagé notamment par certains acteurs de la filière de la pêche responsable, à l’image de Phare d’Eckmühl, marque bretonne spécialiste depuis 1999 "des poissons sauvages pêchés de façon responsable" ainsi que "des poissons d’élevage bio, préparés en conserve et commercialisés exclusivement dans les magasins bio."
Elle souligne que “diversifier les espèces et les lieux d’approvisionnement est un bon moyen de bénéficier au maximum des différents apports nutritionnels” mais aussi de contribuer “au respect des ressources marines”.
Pour varier les plaisirs, la marque met ainsi en avant son thon blanc en conserve. "Cette espèce, pêchée proche de nos côtes entre l’Irlande et l’Espagne, est la seule espèce de thon en conserve riche en oméga-3", précise Phare d’Eckmühl.
Créée en 1999, cette marque s’appuie sur l’expertise de la maison Chancerelle, fondée quant à elle en 1828 à Douarnenez (Finistère).
A lire aussi : "[Podcast] Cette conserverie bretonne engagée veut bouger les lignes de toute une filière"
Contribuer au développement de la pêche responsable
"Depuis plus de 25 ans, nous oeuvrons pour concilier les attentes des consommateurs et la protection de l’environnement", explique Phare d’Eckmühl, avant d’ajouter : "Nous avons adopté en 2020 un cahier des charges encore plus exigeant à travers notre démarche 'Pêche responsable', contrôlée par Bureau Veritas, un organisme certificateur indépendant."
Ces engagements s’articulent autour de quatre piliers, déclinés en 46 critères. Le premier pilier concerne "la contribution à la préservation des ressources", le deuxième, "la sélection rigoureuse de poissons de qualité", le troisième, "la transparence et la traçabilité", et le quatrième, "le respect des hommes et des femmes dans leur travail".
Phare d’Eckmühl indique par ailleurs avoir à coeur de "s’engager au-delà de la réglementation qui s’impose aux acteurs" du secteur, ainsi que de "soutenir l’emploi local".
"Nous nous tournons en priorité vers les ressources locales, au plus proche de nos côtes, et nous produisons à Douarnenez, en Bretagne. 82 % de nos produits le sont, les autres sont préparés au plus proche du lieu de pêche", appuie la marque bretonne, également engagée au sein du collectif 1 % for the Planet.
Concrètement 1 % du chiffre d’affaires généré par la vente des conserves de thon albacore et listao est reversé à l’association Bretagne Vivante (sur le plan local) et à la Fondation Tara Océan (sur le plan national).
*Le poisson est riche en protéines qui contribuent au maintien de la masse musculaire.
Envie de passer aux fourneaux ? Phare d’Eckmühl vous propose de tester sa pissaladière aux sardines aux herbes de Provence.
Voici la recette :
Ingrédients
- 1 boîte de sardines herbes de Provence Phare d’Eckmühl
- 300 g de farine
- 15 cl d’eau tiède
- 600 g d’oignons jaunes
- 1 sachet de levure de boulanger déshydratée
- 2 cuillères à soupe d’herbes de Provence
- 1 cuillère à soupe de sucre
- huile d’olive
- olives noires
- sel, poivre
Préparation
Etape 1 : Dans un saladier, mélanger la levure et l’eau tiède. Ajouter dans l’ordre 2 cuillère à soupe d’huile d’olive, la farine, 1 cuillère d’herbes de Provence, le sucre et 1 cuillère de sel. Pétrir à la main jusqu’à obtenir une pâte souple, non collante. Couvrir et laisser lever 2 h.
Etape 2 : Faire revenir les oignons épluchés et émincés, avec sel et poivre, dans un peu d’huile d’olive jusqu’à ce qu’ils soient fondus et dorés.
Etape 3 : Couper les sardines en deux dans la longueur. 4. Étaler la pâte sur du papier cuisson. Placer dessus les oignons, l’huile des sardines, 1 c. à s. d’herbes de Provence. Puis les sardines et des olives noires. Enfourner 25 min à 200 °C
En partenariat avec Phare d'Eckmühl.