La solution WEETULIP, avec son charbon de bambou, pour une eau saine et zéro déchet.
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Cette entreprise propose une solution pour une eau saine et zéro déchet

Le lien entre eau et plastique à usage unique se fait de plus en plus évident aujourd’hui, alors que la pollution des mers et océans du globe par ce matériau se révèle à nous. À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, ce 22 mars, il convient d’interroger le fait que c’est justement notre consommation de ce liquide nécessaire à la vie qui engendre une partie de cette pollution.  

La consommation d’eau en bouteille en France, même si elle tend à diminuer, reste aujourd’hui élevée : en 2018, 9,1 milliards de litres ont été bus dans l’Hexagone, soit environ 136 litres par personne. C’est beaucoup, lorsque l’on sait quels déchets génère cette consommation et l’impact environnemental du plastique à usage unique, qui termine bien souvent… dans l’eau. Chaque année, quelque 8 millions de tonnes de plastique supplémentaires viennent polluer nos océans, ces déchets allant jusqu’à former un « 7ème continent ». En ce 22 mars, journée mondiale de l’eau, chacun peut s’interroger sur les moyens qui sont à sa disposition pour consommer l’eau de manière plus responsable, notamment en limitant sa production de déchets. La solution WEETULIP compte parmi ceux-ci, en ce qu’elle constitue une alternative durable, design, et économique à la bouteille en plastique.

Le charbon de bambou, clé de la purification

C’est donc dans une démarche zéro déchet que WEETULIP développe, depuis 2019, une solution consistant en une gamme de carafes et de gourdes, destinées à accueillir une eau purifiée. L’entreprise basée à Paris a fait le pari du charbon de bambou pour assainir l’eau, une technique naturelle, éprouvée scientifiquement, venant d’une tradition japonaise. D’une part, ce bois de bambou, un végétal qui ne nécessite pas de pesticides, peu d’entretien et dont la culture n’engendre pas de déforestation, permet d’absorber de nombreuses substances indésirables de l’eau courante, comme d’éventuelles traces de métaux lourds (plomb, mercure, nickel, etc) ainsi que les résidus de pesticides. De l’autre, le charbon enrichit aussi l’eau qu’il filtre de ses minéraux, comme le magnésium ou le calcium.

Les carafes WEETULIP sont l’assurance d’une eau zéro déchet à la maison. Mais à l’extérieur, plus d’excuse non plus pour céder à la tentation de la bouteille en plastique. Les gourdes isothermes WEETULIP permettent ainsi de filtrer l’eau où que l’on soit. La démarche porte ses fruits, à en croire Yvette Roozenbeek, fondatrice de l’entreprise : "En 2020, qui était notre première année d’activité, plus de 250 000 bouteilles d’eau en plastique ont pu être économisées avec la solution WEETULIP". Et la marque a de grandes ambitions. « D’ici 3 ans, nous souhaitons porter ce nombre à 15 millions de bouteilles par an », ajoute-t-elle. Un objectif qui suppose un changement profond des habitudes de consommation de l’eau.  

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Le début de l’aventure zéro déchet

Pour se lancer facilement, WEETULIP propose des coffrets prêts à l’emploi contenant une gourde ou une carafe au choix, et du charbon de bambou. Avec l’abonnement WEETULIP, une petite boîte de recharge de bâtons est envoyée tous les 3 mois, pour ne pas risquer d’être à court.  Les charbons de bambou sont acheminés en vrac par bateau depuis le Japon, où ils sont produits de manière traditionnelle et durable. Après usage, le charbon peut encore être utilisé comme purificateur d’air ou désodorisant pendant plusieurs mois, après quoi il pourra retourner à la terre dans un compost ou une poubelle végétale. Avec WEETULIP un usage raisonné de l’eau est donc indissociable de déchets biodégradables, non-polluants, pouvant être aisément valorisés.

Pour provoquer le déclic et faire des futurs adeptes de WEETULIP des acteurs de la gestion durable de nos ressources en eau, la startup fait donc valoir une solution pratique et design tout en étant écoresponsable. D’autant qu’à l’avenir, pour parfaire sa recherche du zéro déchet, WEETULIP souhaite concevoir et fabriquer une carafe en verre recyclé.

Qui plus est, il reste un argument, et pas des moindres, pour franchir le pas d’une consommation responsable de l’eau : celui du prix. L’eau en bouteille est très chère par rapport à l’eau du robinet ou l’eau filtrée naturellement par le charbon. En cette journée mondiale de l’eau, on se rappellera qu’avoir accès à de l’eau de qualité à faible coût reste un privilège dont il faut se saisir, et qu’il faut s’attacher à répandre au plus grand nombre.

En partenariat avec Weetulip.

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