Nombreuses sont les prises de conscience concernant l’urgence climatique qui ont vu le jour au cours de l’année passée. "On veut un futur", voici ce que l'on pouvait lire sur de nombreuses pancartes durant les dernières marches pour le climat. Parce qu’il est difficile de se projeter dans un "avenir où la terre étouffe", c’est la jeunesse qui se mobilise tout particulièrement. Dans le sillon des grèves étudiantes pour le climat, du Manifeste étudiant pour un réveil écologique ou de l’Affaire du siècle, dans les écoles, on monte des projets pour sensibiliser, diffuser et informer sur le développement durable.
Penser l’avenir autrement
Les mobilisations étudiantes posent la question du : comment imaginer un futur si nos sociétés ne s’adaptent pas aux contraintes liées au réchauffement ? Pour faire en sorte que les futures générations d’actifs se saisissent des enjeux climatiques, le programme ID de SKEMA Business School organise deux jours de réunion. Le temps d’un week-end, des bénévoles de toutes filières ainsi que des associations parmi les fédérations étudiantes, accueillent celles et ceux qui "veulent passer à la vitesse supérieure" (détails sur le site). Au programme : "Mieux se connaître pour mieux agir", un vaste projet qui se déclinera sous le bon œil et les conseils du parrain du festival : Jean Jouzel, l’ex vice-président du groupe de scientifiques du GIEC et personnalité qualifiée faisant partie du comité de gouvernance de la Convention Citoyenne pour le Climat .
Samedi 5 octobre sont prévus des débats animés par des chercheurs, des écrivains, des conférenciers ou simplement des engagés visant à se questionner sur : la société, l’économie, les inégalités, la technologie… Tout ce qui touche de près ou de loin au développement durable. Le lendemain, on se retroussera les manches pour participer à divers ateliers et à défis afin d'imaginer des solutions positives et durables pour la planète.
A l’issue de ce week-end, les liens entre la planète, la société, les autres et le "moi" doivent-être établis, ils forment le PSAM. C’est le logo de l’événement et du mouvement initié par le programme. Chaque cercle représente une entité, tous sont imbriqués les uns dans les autres, celui qui comprend le tout est celui qui incarne la planète.
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