"Précurseur en matière de Politique alimentaire, Montpellier est devenue le 11 février, la première grande ville de France à utiliser des barquettes biocompostables, 100 % valorisables, dans ses restaurants scolaires", se réjouit le maire de Montpellier, Philippe Saurel, dans un communiqué. La cellulose de ces barquettes (fibre vierge de bois, amidon de maïs, fibre végétale) est issue de forêts gérées de façon durable, et 90 % de la matière utilisée est issue des ressources renouvelables. Elle est 100 % compostable.
Les contenants seront 100% valorisés, collectés et traités et sein de l’usine de méthanisation Amethyst, promet la ville. Le coût de ce passage aux barquettes en cellulose, pris en charge par la Ville de Montpellier est de + 60 000 € par an. L'objectif principal annoncé : "limiter le risque d’exposition des enfants aux perturbateurs endocriniens".
La restauration scolaire à Montpellier propose par ailleurs à ce jour, selon la ville, 15 % de produits bio et 35 % de produits durables.