Ce projet de décret, qui concerne aussi bien les masques, les gants, les mégots ou encore les dépôts sauvages d'ordures, devrait être présenté mi-juin. L'amende pourrait même monter à 375 euros, voire 750 euros si la police établit un procès-verbal et le transmet au tribunal, selon le ministère. Cette mesure s'inscrit dans le cadre de la feuille de route pour l'économie circulaire lancée en 2018 et "trouve avec le Covid-19 un nouvel écho, avec la multiplication du nombre de nouveaux déchets abandonnés liés à la crise sanitaire" au lieu d'être jetés à la poubelle, souligne le ministère. "Il faut que chacun comprenne que tout déchet jeté par terre finit souvent sa route dans l'océan" a souligné Brune Poirson, dans une déclaration transmise à l'AFP. "Si on veut des mers et des océans propres, ça commence par des trottoirs propres", poursuit la secrétaire d'Etat, qui se rend dimanche à Lège-Cap-Ferret, en Gironde, à la veille de la journée mondiale des océans, pour une collecte de déchets plastiques.
Le ministère prévoit également d'intensifier ses campagnes de communication pour inciter les gens à ne pas jeter les déchets n'importe où.
Avec AFP.
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