Les scandales financiers se suivent… et se ressemblent. 1 an et demi après les « Panama Papers » et trois ans après les « Luxleaks », le Consortium international des journalistes (ICIJ), qui regroupe près d’une centaine de médias à travers le monde, a commencé à publier lundi des révélations sur la finance offshore, qui représenterait, selon Le Monde, un manque à gagner de 350 milliards d’euros par an dans la fiscalité des Etats. Cette nouvelle affaire, nommée « Paradise Papers », est le résultat d’un an d’enquête qui a nécessité l’analyse de 13,5 millions, principalement issus des données du cabinet d’avocats Appleby, basé aux Bermudes.
Le chiffre