Un nouvel espoir pour la Grande barrière de corail ? Des chercheurs de l’Université australienne Southern Cross ont publié le 26 novembre dernier des résultats prometteurs pouvant remédier à l’endommagement de la Grande barrière de corail.
Ces scientifiques ont collecté en grande quantité des ovules et du sperme issus de coraux à Heron Island au large de la côte orientale australienne. Ils ont ensuite produit des larves pour les transplanter dans les zones endommagées de la Grande barrière. Huit mois plus tard, ils ont pu constater que le corail juvénile avait survécu et grandi.
Inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco en 1981, ce récif géant est menacé depuis plusieurs années par l’activité humaine. Entre la pêche, le tourisme ou encore le changement climatique, il est de plus en plus difficile de préserver cette richesse du patrimoine mondial.