Le projet de Cigéo à Bure (Meuse), où doivent être enfouis à partir de 2050 les déchets nucléaires les plus dangereux pour des centaines de milliers d'années, répond en l'état aux attentes en matière de sûreté, même si des points de vigilance restent à résoudre, a estimé jeudi l'ASNR.
La présentation jeudi au Parlement de cet avis technique de synthèse marque une étape clé pour la poursuite du projet, qui peut désormais être soumis à l'enquête publique dans le courant du second semestre 2026, et ce en vue d'une décision du gouvernement sur l'autorisation de création du site, attendue au mieux pour 2028.